"J’ai pratiqué le sport de haut niveau pendant 15 ans. Parmi mes anciens collègues de sport, beaucoup ont développé des arthroses suite à la période active – un nombre étonnamment élevé. Plusieurs ont été obligés de se faire poser des articulations artificielles, que ce soit au genou ou à la hanche. Et tous ont trouvé plus ou moins normal qu’ils devaient en quelque sorte 'payer' pour leur passé de sportifs.
Arrivé à l’âge de 50 ans environ, j’ai commencé à avoir des problèmes au niveau des hanches. J’ai consulté un spécialiste, on m’a fait une radio. "Les os ne sont plus très bien irrigués par le sang", tel fut le verdict du médecin. "Vous devrez vous faire opérer dans peu de temps." Il m’a prescrit des séances de physiothérapie et un contrôle tous les trois mois.
Au lieu d’aller aux séances de physio, je me suis soumis aux instructions strictes de Benita Cantieni. Elle m’a concocté des exercices sur mesure. Un entraînement que j’ai suivi rigoureusement. Lors du premier examen de contrôle, le cotyle et la tête du fémur étaient totalement intacts. Toutes les ombres suspectes avaient disparu. "C’est un miracle", a dit le médecin, "j’ai rarement vu cela."
Depuis ce temps, je suis resté fidèle à la méthode CANTIENICA®; je fais les exercices deux fois par semaine. À un certain moment, je me suis rendu compte que les hémorroïdes qui m’avaient beaucoup dérangé avaient disparu, elles aussi.
J’essaie d’appliquer au mieux les principes de cette méthode à toutes mes activités. Et si, occasionnellement, je retrouve de vieilles 'connaissances' pendant la musculation – tels que contractures musculaires et foulures des articulations –, mon corps m’envoie à coup sûr un signal d’alarme pour me dire qu’il n’est pas content.
Je suis convaincu que le redressement de l’ossature à partir du bassin et l’activation de la musculature profonde qui en résulte peut enrichir toute activité sportive. Le corps devient mobile et réagit plus rapidement; il peut apprendre à se protéger lui-même des mouvements brusques et néfastes pour les articulations."
Leonardo H., Zurich (Suisse), entrepreneur